L’AFS a le plaisir de vous proposer le Café littéraire qui aura lieu un samedi par mois.
Samedi 16:30~18:00、 1 séance : 1,500 yens、 Minimum 5 personnes (réservation obligatoire)
Intervenant : Mme Jacynthe Tremblay
Trimestre d’automne
Ecrivain de ce trimestre : Honoré de BALZAC
❀ 1e séance : 18 octobre
L’apprentissage de Balzac et ses premiers romans
La « Comédie humaine », œuvre prodigieuse et unique dans l’histoire de la littérature, comprend 95 livres. Elle est le reflet de la vie sociale dans la France du XIXe siècle, mais aussi une véritable transposition de la vie de Balzac, surtout lorsque ce dernier présente des journalistes et des écrivains. C’est ce qu’on constatera à travers quelques romans, dont Illusions perdues (1843) et Splendeurs et misères des courtisanes (1847). Cela fournira également l’occasion de passer en revue les thèmes principaux de la « Comédie humaine ».
❀ 2e séance : 22 novembre
Le succès littéraire de Balzac et sa force de travail
Dans la « Comédie humaine », Balzac eut l’ambition de faire un portrait complet de tous les types de personnes et de professions présents dans la société française de son époque, par exemple l’avare, la courtisane, l’homme de loi, etc. Une des particularités de son œuvre est qu’un grand nombre des personnages ainsi décrits apparaissent de manière récurrente dans plusieurs romans différents. Chacun de ces personnages, dont il est possible de suivre la vie d’un roman à l’autre, est intéressant non seulement en lui-même mais aussi parce qu’il est un représentant de la catégorie sociale à laquelle il appartient.
❀ 3e séance : 13 décembre
Mariage et mort d’un grand écrivain
Parmi les thèmes sur lesquels Balzac revient souvent, celui du mariage est omniprésent. Lui-même finit par se marier en 1850, pour mourir seulement quelques mois après. Au XIXe siècle, toute la vie des femmes était au service de ce pilier de la société qu’était le mariage. On le constatera à travers les romans faisant partie des « Scènes de la vie privée », surtout La Maison du chat-qui-pelote (1830), ainsi qu’à travers l’étude de Balzac intitulée Physiologie du mariage (1829).
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